04/10/2012

les chasseurs apprennent à lire sur des calendriers de femmes à poils

les chasseurs apprennent à lire sur des calendriers de femmes à poils


Vous ne le savez peut etre pas mais.. vous omprendrez la mentalité des chasseurs... avec ce récit 

 C’était par une belle  après midi de septembre, j’étais parti faire une sortie véloavec une super copine (qui n’étais pas ma petite amie) avec qui nous partagions plein d’activités sportives comme je vous le disait au début.

Entre nous il n’y avait pas de tabous, nous étions très proche, nous partagions les mêmes passions, la même vision de la vie et nous avions une tendresse mutuelle l’un envers l’autre. Clara était une petite brune d’un mètre soixante, dynamique, avec un superbe visage, des cheveux magnifique, des fesses bien rebondies mais loin d’être grosses et une poitrine légère. Et surtout, elle avait une forme à faire pâlir bien des cyclistes du dimanche. 

Voilà bien deux heures que nous roulions à un rythme plutôt soutenu quand le ciel qui était bien menaçant jusque là se mit à déverser sur nous des trombes d’eau.

D’un commun accord nous prîmes la décision de nous diriger vers une cabane de chasseur perdue au bout d’un sentier. Nous arrivâmes enfin trempés jusqu’à l’os. L’entrée principale était verrouillée mais nous savions qu’il y avait une sorte de grange de l’autre coté.
- ça fait du bien d’être au sec me dit Clara.
-c’est certain mais trempé comme on est on aura droit à une bonne crève… Sauf  si nous arrivions à trouver les clefs de la porte reliant la grange à la cabane. J’étais certain qu’il y avait un poêle à l’intérieur puisqu’il y avait une cheminée sur le toit. Nous cherchâmes donc la clé et soudain Clara m’appela :
- Je les ai ! Elles étaient sous ce pot de fleur !
- Pile poil !

On ouvrit donc la porte et dans l’obscurité on trouva des bougies et quelques allumettes. Et quand la lumière fut, on découvrit avec stupeur et amusement que les murs étaient tapissés de posters de femmes nues dans des positions plutôt scabreuses, voir même franchement pornographiques. Il y avait même une image où une femme blonde avec des énormes seins était à quatre pattes avec un homme qui visiblement, la sodomisait. Et rien que ces images sur le mur suffisaient à faire gonfler un peu mon sexe. Clara rigola et me dit :
- Tu vois quand je te dis que les chasseurs apprennent à lire sur des calendriers de femmes à poils, c’était pas du Pipo !

Quelque peu amusé par cette découverte, le froid nous rattrapait bientôt et il me tardait alors d’allumer le poêle. Ceux que nous fîmes hâtivement. Alors la douce chaleur envahissait rapidement cette minuscule et unique pièce fermée. J’approchais un large et long banc près du feu, je quittais ensuite mon tee-shirt pour le faire sécher sur un fil au dessus du brasier. Nous étions maintenant assis cote à cote et Clara sans rien dire se leva à son tour pour quitter son maillot. Seulement, même dans l’obscurité je ne mis pas longtemps à m’apercevoir que sa brassière de sport blanche et détrempée ne cachait plus vraiment sa poitrine. Elle fit mine de rien. Nous étions de bon copain, il nous était arrivé de nous voir nu lors de bains de minuit improvisés ou lorsqu’à la sortie d’une partie de canyoning, la serviette qui servait à nous dissimuler s’était envolée avec le vent. Mais jamais si proche et jamais nu l’un près de l’autre volontairement. Elle se rassit à nouveaux à mes coté. Après avoir discuté de chose et d’autre elle me lâcha :
-Si ça te dérange pas, je vais peut-être quitter mon soutif car il est aussi trempé… Puis de toute façon il ne cache plus grand-chose ! Dit-elle en rigolant. 

Je répondais amusé :
- Vas y fait comme chez toi.
Elle se retourna pour me présenter son dos en me lançant :
- Tu me dégrafes ? J’étais étonné car je ne m’attendais pas du tout à ce qu’elle me demande une chose pareille.

Mais j’étais tout heureux et je m’exécutais rapidement. Je commençais à être un peu troublé, mes mains tremblotaient et ce n’était pas vraiment à cause du froid. Je repris mes esprits et je dégrafais soigneusement ce soutient gorge. Sauf que j’étais bien décidé à le faire comme il faut, alors sitôt que j’avais libéré l’attache, je m’empressais de faire remonter mes mains le long de ses bretelles en effleurant soigneusement sa peau jusqu’à ses épaules, j’ouvris alors les bras, elle se recula vers moi ce qui libéra sa poitrine de ce vêtement trempé. Ses seins étaient mignons tout plein, pas spécialement gros mais galbés, en forme de poire. Par-dessus son épaule, je pouvais voir deux tétons qui pointaient et deux aréoles ni trop larges ni trop étroites. Je trouvais cette poitrine magnifique à la lueur du feu et des bougies. Son dos nu était maintenant appuyé sur mon torse et cette sensation de sa peau contre la mienne me fit frissonner. Je me retrouvais donc avec son soutif’ dans mes mains, les yeux rivés sur ses seins. Puis elle pris ces derniers dans ces mains en me disant tout sourire :
- Vas-y, matte moi, ne te gêne pas ! Je l’enveloppais dans mes petits bras musclés et au creux de son oreille je lui glissais d’un air taquin :
- Si tu mes tes mains devant c’est certain que je ne vais plus voir grand-chose…
- Mais bien sûr ! Va plutôt mettre mon soutif sur le fil histoire qu’il sèche un peu.
- Comme tu voudras.

Je sentais qu’il se passait quelque chose d’inhabituel entre nous. J’avais le ventre noué et un profond désir d’aller jusqu’au point de non retour. Je me levais donc pour passer ce bout de tissus détrempé sur l’étendage improvisé.

Puis je commençais à regarder plus attentivement les posters sur les murs. Il y en avait pour tous les goûts : blondes, brunes, asiatiques, africaines, européenne, petit sein, gros sein, poilues, rasées. Mon attention fut attirée par une série de photos qui représentait une femme et un homme en pleins ébats. La femme était à quatre pattes sur un lit et l’homme avait l’air de la pénétrer sauvagement par les deux orifices, si bien que la dernière image montrait en gros plan le vagin entre ouvert et l’anus complètement dilaté de cette actrice de film X.
La photo donnait vraiment envie de la pénétrer au plus profond. Soudain et sans que je m’en sois aperçu, Clara s’était levée du banc et était passée derrière moi, appuyant sa poitrine sur mon dos et posant ses deux mains sur mon ventre.
Elle me dit alors :
- Je n’aimerais pas être à sa place. Tout en regardant ce poster. Je ne répondis rien car en sentant les seins de Clara sur mon dos, une grosse érection était en train de monter dans mon cycliste de vélo, et j’étais un peu gêné car il était impossible de dissimuler quoi que ce soit dans ce caleçon moulant. Oh et puis mince après tout c’est naturel. Clara est bien les seins à l’air, et dans la faible luminosité, ce n’était pas dit qu’elle s’en aperçoive. Je lui répondais d’un ton coquin :
- Et tu voudrais être à la place de qui ? Elle regarda les affichettes, puis elle me montra du doigt, la photo d’une femme allongée sur le dos avec un homme qui avait la tête entre ses cuisses en train d’embrasser son sexe, l’image était très charnelle et attisait mon érection.

- Ouais là bas ça me plairait plus que de me faire atomiser le trou du cul ! Je rigolais et je l’invitais à se rapprocher du feu car je commençais à grelotter. 

Nous nous posions en face du poêle, cote à cote et elle ne semblait plus être décidée à cacher ses seins.
- Je crois qu’avec ce qu’il tombe on est pas encore parti d’ici.
- Ouais probablement… Puis face au feu, la lumière était plus intense et elle s’aperçu de se qui ce passait au niveau de mon entre jambe. Elle me lança alors d’un ton sans équivoque :
- Mais dis moi, tu as l’air bien à l’étroit dans ton cycliste toi, c’est moi qui te fais cet effet là où ce sont les pin-up sur les murs ?
- Un peu les deux on va dire…
Elle rigola et j’ajoutais,
- Ah je voudrais bien t’y voir toi avec des photos plein les murs et deux jolies seins qui me font de l’œil !
Elle approcha sa tête contre la mienne et me dit dans l’oreille en murmurant :

- Je crois que tu devrais mettre à sécher ton cycliste. En même temps elle avait glissé une main sur mon bas ventre qui était venue butter sur mon sexe déjà bien dur. Sans rien dire je me levais et je quittais dos à elle mon cycliste libérant enfin ma verge tendue. J’étendis ce dernier rempart à ma nudité sur le fil au dessus du poêle. Je sentis alors que Clara était en train de déposer des baisers sur mes fesses. Lentement elle s’appliquait à embrasser chaque centimètres carré de mon postérieur, ses mains avaient commencés à caresser mon dos puis lentement elle les porta le long des mes cotes, puis de mon ventre et enfin près de mon sexe. 

Elle empoigna délicatement ma verge et me masturba tendrement. La sensation était extraordinaire et des frissons de plaisir me balayaient le corps. Je rejetais alors la tête en arrière et je fermais les yeux en inspirant profondément. Tout en m’embrassant elle remonta le long de ma colonne vertébrale pour venir déposer des bisous dans mon cou. Je sentais que ces tétons effleuraient mon dos et je frémissais comme un gardon. Je me retournais alors et je l’embrassais. Ses lèvres étaient douces, sa bouche chaude et voluptueuse et sa langue avait un goût exquis. Je lui caressait le dos puis doucement mes mains descendirent vers ses fesses que je commençais à caresser à travers son cycliste. 

Puis je débutais une langoureuse série de bisous dans son coup puis sur le haut de sa poitrine et enfin sur ses seins. Cela même qui me narguaient depuis tout à l’heure et que j’avais envi de croquer à pleine dent. Je les embrassais, je les palpais, ils étaient devenus tout durs sous mes caresses. Ces petits tétons qui pointaient vers moi avaient l’air de me supplier que je m’occupe d’eux. Je les aspirais délicatement l’un après l’autre. Je voyais sur sa peau au goût sucrée que la chair de poule parcourrait son corps. Elle avait passé ses mains dans mes cheveux et elle me câlinait la nuque. 

Je délaissais ses seins pour descendre un peu plus bas. Je m’attardais un peu sur son nombril en enfonçant ma langue à l’intérieur. Puis j’attrapais les cotés de son short et j’entreprenais très calmement de  le lui retirer. J’embrassais en même temps son ventre. Je fus très surpris de voir qu’elle portait une petite culotte blanche sous son cycliste. Mais ce qui m’excita le plus, ce fut de voir que cette culotte de sport pas sexy du tout était détrempée par l’orage et peut-être par autre chose, qu’elle laissait apparaître en transparence sa légère toison pubienne, et surtout que le tissus moulait également son petit abricot bien mûre que j’allais bientôt pouvoir croquer. Une fois son cycliste retiré et mis sur le fil, on s’assaillait face à face, une jambe de chaque coté du banc. On s’embrassait et on se cajolait mutuellement. 

Tantôt ses mains venait caresser mon sexe tantôt je caressais le sien à travers sa culotte. Mon jonc était tendu fièrement vers le ciel et mon gland était devenu très imposant et très humide. Ce liquide qui coulait à travers mon petit trou au sommet de ma bite était une aubaine pour Clara qui jouait avec. Elle s’en mettait un peu sur les doigts et après avoir décalotté le sommet de ma verge, elle dessinait du bout des doigts des formes rondes sur mon gland ce qui me faisait un bien fou. Je lui rendais du mieux possible en passant la main entre sa culotte et son minou.

Après l’escalade magique du mont de vénus et sa légère toison pubienne, je descendais vers ce sillon féerique, lisse comme du satin et doux comme de la soie où se trouvait le bouton du plaisir. Je sentais déjà qu’une certaine humidité avait envahie cet espace interdit. Puis ça en était trop. Je me mis à l’embrasser en la repoussant en arrière pour l’obliger à s’allonger sur le banc, une jambe de chaque coté de celui-ci. J’avais vraiment un désir incontrôlable de lui hotter ce dernier vêtement. J’attrapais enfin sa culotte, elle leva le bassin et resserra ses jambes et tranquillement je la privais de cette barrière du plaisir. Libérée, elle écarta franchement les jambes m’ouvrant ainsi sa fente. Son pubis était soigneusement entretenu et ses lèvres étaient dépourvues de poils, blanches, volumineuse implorant des caresses. Je déposais des baisers à l’intérieur de ses cuisses tout près de son sexe. Bientôt je m’occuperais de cette minette mais pour le moment j’embrassais et j’en caressais tout le pourtour délaissant volontairement son entrejambe. Avec l’orage qui redoublait de violence, nous avions tout notre temps. Puis en voyant qu’elle m’ouvrait encore un peu plus son intimité et que cette dernière était franchement humide, je glissais un doigt entre ses lèvres qui étaient en fait, franchement détrempées. Elle frémit en poussant un petit bruit imperceptible. Son sexe était magnifique et je plongeais à l’intérieur vers la découverte de son jardin secret. J’embrassais tout, j’écartais délicatement ses grandes et petites lèvres pour découvrir son clitoris et au contact de ma langue elle soupira de plaisir. Je continuais sur ma lancée, son bassin bougeait par spasmes sous mes coups de langues. Je délaissais, un moment cet endroit mystérieux pour me pencher un peu sur elle et venir m’occuper du reste de son corps. 

Elle voulu alors se relever mais d’une main ferme je lui fis comprendre que je n’en n’avais pas encore terminé avec elle. Alors elle s’abandonna de nouveau la tête en arrière, les seins durs et le sexe grand ouvert inondé par son liquide, quel somptueux spectacle qui s’offrait à moi. Je caressais ses côtes en embrassant ses seins que j’adorais. Puis je revins m’occuper de son bas ventre en fusion. J’introduisis tendrement un doigt à l’intérieur de son vagin où une grosse sécrétion de cyprine se produisit alors. Son liquide chaud coulait en abondance jusqu’à son petit trou. Je commençais quelques vas et viens tranquilles et de nouveau elle se cabra. Elle avait le souffle court, et je me régalais de la voir à ma merci, en train d’adorer mes caresses. Puis je mis deux doigts en elle ce qui la fit hurler de plaisir dans une profonde expiration. Je continuais à maltraiter en douceur ce conduit lubrique, chaud et accueillant. Son vagin étant bien lâche maintenant, j’insérais alors trois doigts en les enfonçant encore un peu plus dans son antre. A chaque fois qu’elle expirait, elle émettait des petits bruits, son corps était tendu et quand je retirais mes doigts de son vagin, celui-ci resta béant près à recevoir mon sexe. Seulement je n’avais pas de préservatif donc il allait être impossible de la pénétrer. Elle me lança alors en haletant :
- vas-y, prends moi, vas-y… 
Continue ! Que faire ? Même si je là connaissais bien, sans préservatif c’était impossible. Alors je passais mes deux mains sous son dos pour la relever. Face à moi, elle m’embrassa vigoureusement. Et d’un coup elle empoigna rapidement mon sexe. Quand je compris qu’elle le prit pour que je la pénètre, je stoppais sa manœuvre et je lui dis essoufflé :
- Attends, on a pas de capote !
Elle soupira de déception mais elle approuva. Elle se leva puis se dirigea en courrant vers son sac puis en sorti un préservatif. J’explosais de rire en lui disant :
-T’es bien prévoyante ! Mais elle ne me répondit pas et ouvrit rapidement le sachet en tremblant. Elle déroula ensuite brusquement la capote sur mon sexe trempé par mon liquide qui coulait abondamment. Elle me fit mal tellement ses gestes étaient brusques, hâtifs et imprécis. Je lui dis en reprenant le contrôle :
- doucement…
Puis une fois le latex en place, elle attrapa de nouveau ma verge et elle la pointa vers l’entrée de son vagin, puis elle s’empala littéralement dessus. Son vagin étant gorgé de cyprine ma verge n’eu aucun mal à rentrer. C’était chaud, doux, intense de pouvoir être en elle, Clara que je connaissais si bien et qui je dois bien l’admettre, m’avait fait fantasmer plus d’une fois. Cette pénétration rapide avait du lui procurer beaucoup de plaisir puisqu’elle marqua un arrêt, figée. Puis elle commença des vas et viens énergiques. Son visage était tendu et elle contrôlait tous les mouvements de son bassin. Je commençais moi aussi à me sentir déconnecté et à ne plus pourvoir garder les yeux ouverts. 

Je caressais son corps, j’avalais ses seins, je palpais ses fesses. Je ne savais plus où donner de la tête tant les sensations étaient intenses. Je sentis alors que quelque chose coulait sur mes bourses, ce n’était pas autre chose que son jus qui débordait de son vagin et ruisselait le long de mon sexe. Je touchais au plus près de son antre et je sentais sous mes doigts ce ruisseau de plaisir. Ah chaque fois que Clara redescendait vers moi en s’enfonçant mon sexe au plus profond d’elle-même, elle poussait des petits cris qui achevaient de m’exciter. Je localisais son petit trou rendu humide par son jus et j’enfonçais sans peine un doigt à l’intérieur. C’était mon summum, elle poussa un cri. Et alors qu’elle avait encore accéléré la cadence, je ne puis plus rien faire et j’éjaculais dans de nombreux spasmes.


Elle continua un peu puis à son tour elle s’arrêta nette, comme foudroyée. Nous restâmes un petit moment comme cela, j’étais dans son corps. Puis elle se retira et s’allongea sur le banc me laissant admirer son corps, son minou tout humide et son vagin entre ouvert. Je m’effondrais sur elle, la tête sur ses seins, les yeux fermés. Dehors il pleuvait toujours, la pièce était chaude, humide et toutes les scènes érotiques des posters sur les murs n’étaient rien en comparaison avec ce que nous venions de vivre

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Seb
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