02/08/2009

Le Vin est vraiment bon pour la sante.

Un antioxydant, présent dans la peau des grains de raisins, permet d'éviter les septicémies. De nouveaux traitements contre les infections mortelles pourraient résulter de cette découverte.

L'antioxydant, nommé resveratrol, est présent dans la peau des grains de raisin et en quantité beaucoup plus importante dans le vin rouge que dans le vin blanc (Sipa)

L'antioxydant, nommé resveratrol, est présent dans la peau des grains de raisin et en quantité beaucoup plus importante dans le vin rouge que dans le vin blanc (Sipa)

Une équipe scientifique de l'université écossaise de Glasgow a déclaré dimanche 2 août avoir découvert qu'un antioxydant contenu en grande quantité dans le vin rouge permet de prévenir des infections pouvant dégénérer en septicémies.
Cet antioxydant, nommé resveratrol, est présent dans la peau des grains de raisin et en quantité beaucoup plus importante dans le vin rouge que dans le vin blanc. Plusieurs bienfaits lui étaient déjà attribués: prévenir la formation des caillots de sang et combattre le cancer.


Expériences concluantes sur des souris


En faisant des expériences sur deux groupes de souris exposées à un puissant agent infectant, l'équipe britannique s'est rendue compte que celles n'ayant pas subi de traitement préalable à base de resveratrol développaient une grave réaction similaire à une septicémie chez l'être humain, qui peut entraîner une défaillance générale des organes et la mort.
En revanche, le groupe ayant reçu du resveratrol n'a développé aucune infection.
Selon les chercheurs, le resveratrol empêche la formation de deux enzymes jouant un rôle majeur dans le déclenchement de graves inflammations, la sphingosine kinase et la phospholipase D.

Une nouvelle thérapie potentielle


"Des maladies inflammatoires sévères comme la septicémie sont très difficiles à traiter et de nombreuses personnes décèdent par manque de traitements", a expliqué le docteur Alirio Melendez, l'un des chercheurs de l'université de Glasgow.
"De plus, de nombreuses personnes ayant survécu à une septicémie en ressortent avec une très mauvaise qualité de vie à cause des dégâts causés par l'infection aux différents organes internes. L'objectif ultime de notre étude était d'identifier une nouvelle thérapie potentielle pour aider au traitement des maladies inflammatoires sévères", a-t-il expliqué.

source nouvelobs
Seb
Pur délire
Le blog délire qui ne se prend pas la tête.

Aucun commentaire: