5 Morts les plus délire de l'histoire
Mourir, ce n'est jamais très drôle mais là... pour la toussaint le blog pur delire a trouvé des perles...
L'empereur Barberousse (1122 – 1190) : De son vrai nom Frédéric de Hohenstaufen, il porte le titre très glam rock d'Empereur romain germanique. Après s'être bastonné aux quatre coins de l'Europe avec ses contemporains, il se décide à tâter de l'infidèle et s'embarque pour la 3ème croisade. Mais le climat ne lui vaut rien et il est en sueur du matin au soir. Un jour, crevant de chaud, il plonge dans une rivière turque avec son armure. Kolossalle erreur ! Aussi lourd qu'une Kartofel salad, il meurt noyé à l'âge de 68 ans.
René Goscinny (1926 – 1977) : le créateur d'Astérix aurait encore pu vivre des années et éviter que son héros ne passe trop tôt entre les mains de marchands de soupe, si il avait été moins soucieux ... de sa santé. En effet, il est mort dans une clinique parisienne en soumettant son cœur à un test d'effort.
Tycho Brahe (1546 – 1601) : Voici un autre scientifique de premier plan mort comme un gland. Cet astronome danois est connu de son vivant pour s'être fait offrir une île près de Copenhague et financer un Observatoire par l'empereur Frédéric II. Il s'installe ensuite à Prague et devient le mathématicien impérial à la cour de Rodophe II. Un jour qu'il partage le carrosse de ce dernier pour un long trajet, il retient une envie d'uriner pendant des heures de crainte de ralentir le cortège. Bilan ? Il meurt d'un calcul ou d'une septicémie, conséquence de sa vessie trop pleine.
Idris II (795 – 828) : Fils du premier roi du Maroc, Idriss 1er, il fonde Fès et soumet les tribus rebelles. Au faît de sa puissance, il impose son autorité jusqu'aux frontières actuelles du royaume. Mais à 33 ans, âge où même un cheminot ne songe pas à la retraite, il s'étrangle avec un grain de raisin à la fin d'une bouffe.
Dans la série « je suis célèbre mais je m'étrangle quand même avec du raisin » on peut citer Sophocle. Mais le tragédien grec était lui sénile et âgé de plus de quatre-vingt dix ans au moment de l'accident.
Evariste Gallois (1811-1832) : Mathématicien précoce et génial, il est de l'étoffe des plus grands scientifiques.
Mais en mai 1832, chauffé à blanc par le printemps, ses 20 ans et de longues soirées entre matheux à l'internat de Normale, il branche la femme d'un officier sourcilleux qui le défie en duel. Sa dernière nuit, se sachant moins doué pour les armes que les maths, il rédige fébrilement les grandes lignes de ses théories. Elles alimenteront la recherche des années.
Il va se faire dézinguer par le bidasse cornu.
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Seb
Pur délire
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